Description
Le Maïtaké, appelé aussi Grifola frondosa est surnommé le « champignon dansant » car les paysans qui le découvraient au pied d’un arbre dansaient de joie. Tant sa valeur était inestimable pour les gens fortunés qui se l’offraient en cure de jouvence, afin de fortifier l’organisme. Un peu comme la célèbrissime racine de ginseng sauvage.
La médecine traditionnelle Asiatique a toujours su utiliser tous les bienfaits de la nature, sans négliger les champignons.
Comme le reischi ou le shiitaké, le kawarataké, le maitaké est réputé pour ses propriétés fortifiantes, stimulantes du système immunitaire.
Le maitaké contient des polysaccharides (sucres) efficaces pour stimuler l’activité des cellules du système immunitaire. Et notamment pour activer des cellules ayant une activité anticancéreuse. Le maïtaké serait donc intéressant pour être associé aux traitements allopathiques classiques. De même pour le sida et toutes pathologies nécessitant une stimulation des défenses immunitaires.
Comme le reishi, il aurait une action hypotensive et régulatrice dans certains diabètes.
L’action du maitaké serait potentialisée par une fraction de ce champignon nommée fractionD par les médecins Japonais. Les polysaccharides de cette fractionD expliqueraient l’action stimulante sur les cellules anti-tumorales de l’organisme. C’est pourquoi on trouve des extraits de maitaké garantis en fractionD.
Comme le lentinane pour le shiitaké.
Nous noterons que le maitaké ne présente aucune contre-indication majeureen consommation courante ou en cure d’extraits dosés. On peut donc tester ses effets sans crainte.
Notons également que le champignon frais comme tous les aliments est toujours beaucoup plus riche en principes actifs..
Des études sont bien menées, mais elles sont toujours marginales et de ce fait sujettes à controverse. La cancérologie est un domaine très réservé et le besoin de rentabilité des laboratoires empêche un esprit plus ouvert sur les substances d’origine naturelle. Il est nécessaire de pouvoir synthétiser des molécules pour pouvoir les breveter et gagner beaucoup d’argent. On n(investit pas sans critères de rentabilité !
On en est donc réduit à trouver des informations marginales qui n’ont pas toujours beaucoup de sérieux et d’éthique. On vend de l’information comme on vend des produits !
Mais la recherche est toujours enrichissante…