Quand on parle de minceur, il est important de différencier les différents types de problèmes rencontrés, souvent très différents dans la façon de les aborder :
- Le surpoids important généralisé, obésité. Qui ne peut se régler sans régulation alimentaire et restriction et assistance psychologique, thérapie comportementale.
- Le surpoids moyen généralisé, lié à un passage de vie, une mauvaise hygiène alimentaire et de vie. Beaucoup plus facile à améliorer, et d’ailleurs qui se régularise parfois facilement, lors de changement de vie sociale.
- Le surpoids localisé. Ventre et jambes sont les zones où l’organisme va stocker facilement des graisses. Ces surpoids pouvant devenir importants et handicapants, ne sont pas les plus faciles à traiter car les causes sont multifactorielles.
- La rétention d’eau, que l’on classe à tort dans les problèmes de surpoids. Mais que l’on traite souvent à tort avec des restrictions alimentaires. De plus il ne s’agit souvent que de surcharge de graisse, de cellulite localisée, voire de ballonnements !
Surpoids important généralisé
Le surpoids important a le plus souvent pour origine, en dehors de pathologies génétiques reconnues, de mauvaises habitudes comportementales, un processus de stockage des graisses enclenché depuis de longues années. Souvent ce processus s’est mis en place dans un environnement familial ou environnemental perturbé. Le corps va utiliser le stockage des graisses comme un moyen de défense. Des tensions nerveuses intérieures peuvent stimuler, exciter les processus chimiques qui conditionnent la mise en réserve des graisses. Processus très complexes s’il en est, qui font intervenir différents organes vitaux dont le foie, le pancréas, les glandes hormonales, … La circulation lymphatique est ralentie. Les mécanismes biologiques qui interviennent dans l’élimination ou le stockage des graisses sont infiniment complexes, c’est pourquoi on n’a pas trouvé de recette magique pour traiter définitivement l’obésité.
A part évidemment d’affamer la personne. Ce qui améliore temporairement le problème. Plus d’apport alimentaire entraîne la fonte des réserves de sucres puis de graisses et enfin de protéines. Il n’y a pas d’obésité lorsqu’il n’y a plus rien à manger. Mais dès que l’on se remet à manger, les processus de stockage dont nous parlions précédemment se remettent en route. Et petit à petit, l’obésité se réinstalle. Les raisons de cette mise en réserve de graisses n’ont pas été abordées et traitées, donc elles enclenchent les mêmes effets. Souvent, même si les apports alimentaires sont faibles, cela suffira pour reprendre du poids. L’organisme fera « automatiquement » des réserves, à moins de ne manger vraiment et à vie que ce qu’on peut brûler en calories ; Ce qui est impossible !
C’est pourquoi il est presque toujours nécessaire de se faire aider par une thérapie comportementale ou une psychothérapie en plus d’une régulation alimentaire. Le corps et l’esprit agissent de concert. Le corps a sa propre «intelligence», les neurones ne sont pas que dans le cerveau. Le conscient est facile à exprimer, l’inconscient s’exprime également mais souvent dans le corps directement, sans passer par le conscient et la mise en réserve de graisses dans l’organisme est un processus inconscient.
Protocole conseillé
• Une régulation de l’alimentation mais pas très différente que celle que tout le monde devrait faire. Une alimentation saine et équilibrée. Le choix d’aliments les plus sains, complets et frais possible.. Il convient toutefois d’avoir certaines « restrictions » les premiers mois, pour une perte de poids accélérée et encourageante. Restreindre surtout les féculents, les sucreries et privilégier certains aliments riches en protéines.
Privilégier des aliments protéinés peu gras, viandes blanches et rouges sans féculents au même repas (sauf riz complet) mais des légumes, poissons, légumineuses avec légumes sans viande, noix, amandes et fruits frais en encas. Et priorité aux aliments sains, frais, non raffinés, huiles non hydrogénées. On supprime surtout les aliments industriels, les plats préparés… On diminuera les produits laitiers gras, les viandes grasses, charcuteries. On préfére le riz, le quinoa, le millet aux pâtes et au pain.
• Une régulation du système digestif qui consiste surtout à prendre régulièrement un complexe de plantes digestives amères. Les plantes sont la feuille de tiges d’artichaut, le pissenlit, la camomille, le curcuma, le chardon marie, le romarin, l ‘anis, le fenouil. On peut éventuellement prendre des probiotiques de temps en temps, comme le Gasseri, et du charbon activé. La racine de rhubarbe accélère doucement le transit digestif. Séné et bourdaine sont plus laxatifs. Utile ponctuellement.
• Travail psychologique, thérapies comportementales, exercices de détente, de respiration en plein air. Sophrologie.
• Compléments alimentaires : Huile d’onagre, vitamines du groupe B, Spiruline ou chlorella Algues marines, Tyrosine. Complexe d’acides aminés essentiels
Attention aux plantes à effets diurétiques qui stimulent souvent inutilement les reins. Perdre de l’eau n’est pas perdre de la graisse. Et perdre de l’eau fait perdre de précieux sels minéraux.
Surpoids moyen généralisé
Un surpoids généralisé moyen ou léger demande avant tout une régulation alimentaire et une meilleure hygiène de vie générale. De l’exercice physique, une gestion du mauvais stress.
On tient compte également de la physiologie et de la morphologie de base des personnes concernées. Nous sommes tous différents physiquement, avec des masses osseuses et graisseuses différentes, des tailles, des morphologies différentes et c’est très bien ainsi. Attention à cette société qui «standardise», «uniformise», sur des critères définies par quelques-uns, détenteurs d’argent et de pouvoir…Il n’est heureusement pas «interdit» d’être différent !
Protocole conseillé pour une femme
• Régulation et équilibrage alimentaire sans restriction, sauf excès flagrant. Mais priorité aux aliments sains, frais, non raffinés, huiles non hydrogénées. On supprime surtout les aliments industriels, les plats préparés… On diminue les produits laitiers gras, les viandes grasses, charcuteries, on augmente les légumes, fruits, viandes blanches ou rouges, poissons. On préfére le riz, le quinoa, le millet, le sarrasin comme féculents.
• Drainage du foie et du système digestif avec des plantes amères et légèrement diurétiques. Artichaut (feuilles de tiges), pissenlit, chardon-marie. Au moins 3 semaines, matin à jeun, midi avant le repas, soir juste après.
• Compléments alimentaires : huile d’onagre), Oméga-3 de poissons, de krill ou de lin, vitamines du groupe B, vitamine D3, Spiruline ou chlorella,…
• Produits pouvant aider à mieux activer le métabolisme de base : Maca (Racine d’Amérique du Sud. Algue marine, complexe riche en iode, Tyrosine ou complexe d’acides aminés essentiels.
• Produits de régulation intestinale et notamment constipation : Psyllium, graines de chia, probiotiques, radis noir, rhubarbe racine, nopal, Bourdaine et séné pour les cas désespérés.
Protocole conseillé pour un homme
• Régulation et équilibrage alimentaire, avec un minimum de restriction.On choisira des aliments riches en protéines non grasses, viandes blanches et rouges avec légumes, poissons, œuf mollet, légumineuses et légumes<; Mais priorité aux aliments sains, frais, non raffinés, huiles non hydrogénées. On supprime surtout les aliments industriels, les plats préparés… On diminuera les produits laitiers gras, les viandes grasses, charcuteries, on augmentera les légumes, fruits, viandes blanches ou rouges, poissons.
• Drainage du foie et du système digestif avec des plantes amères… Artichaut (feuilles de tiges), pissenlit, radis noir, chardon marie. Au moins 3 semaines, matin à jeun, midi avant le repas, soir juste après.
• Produits pouvant aider à mieux activer le métabolisme de base : Ginseng blanc ou rouge (Racine de Corée), Éleuthérocoque (Ginseng sibérien), Guarana naturel d’Amazonie, Tribulus Indien (stimule la production naturelle de testostérone). Extraits de cannelle.
Le surpoids localisé
Les surpoids localisés touchent une majorité de la population et souvent s’accentuent avec l’âge. Ils ne présentent pas un réel facteur de gravité pour la santé. Sous condition de se stabiliser, évidemment. Les zones les plus sensibles sont le haut des jambes et le ventre. Lorsque ces zones du corps se chargent en graisses alors que les reste du corps reste svelte, il y a en général quelques raisons précises.
Surpoids localisé chez la femme
• Les causes hormonales. On voit plus rarement un homme avec beaucoup de cellulite. Les hormones féminines, pour des raisons plus ou moins élucidées, obligent l’organisme féminin à stocker plus facilement des graisses. La prise d’hormones de synthèse, pilule contraceptive notamment, aggrave fortement les choses. Le fait est que les œstrogènes donnent une morphologie plus «arrondie» au corps que la testostérone ! La testostérone a un effet très dynamisant sur l’organisme, sur la thyroïde, les surrénales et donc accélère le métabolisme de base. Les femmes sont également très sujettes à l’hypothyroïdie, lié au manque de fer chronique.
– Chez une femme, on ajoutera les problèmes circulatoires. Les dérèglements hormonaux, les grossesses, les allaitements fragilisent le système circulatoire veineux, surtout au niveau des jambes. Si le terrain génétique est déjà mauvais, l’alimentation déséquilibrée, des carences installées, le retour veineux sera difficile et il s’installe au fil des années de nombreux problèmes circulatoires, jambes lourdes, gonflées, varicosités, varices…
– Le stress est évidemment souvent en cause. Les tensions nerveuses intérieures bloquent de nombreuses fonctions ou au contraire les sur-activent. C’est le cas des fonctions d’éliminations, par exemple on constate aisément les effets du stress sur le transit, engendrant instantanément constipation ou diarrhée
Protocole conseillé Si vous avez une surcharge de graisse autour de la taille et/ou sur les hanches et les cuisses et que vous êtes une femme :
• Régulation et équilibrage alimentaire sans restriction, sauf excès flagrant. Mais priorité aux aliments sains, frais, non raffinés, huiles non hydrogénées. On supprime surtout les aliments industriels, les plats préparés… On diminue les produits laitiers gras, les viandes grasses, charcuteries, on augmente les légumes, viandes blanches ou rouges, poissons. On préfére le riz, le quinoa, le millet, le sarrasin comme féculents. Trouver SON alimentation, sans faire «un régime» !
• Drainage du foie et du système digestif avec des plantes amères et légèrement diurétiques. Artichaut (feuilles de tiges), pissenlit, bouleau, prêle, chardon. Au moins 3 semaines, matin à jeun, midi avant le repas, soir juste après.
• Équilibrage hormonal. Suivant l’âge, la prise ou non de pilule, la suite d’une grossesse. Veiller à ne pas avoir de grosse carence en fer (Voir dossier) qui cause une fatigue chronique. Cette carence ne permet pas à l’organisme de s’équilibrer. Si vous ne pouvez faire autrement que prendre des pilules contraceptives ou autres, drainer régulièrement le foie, comme indiqué ci-dessus (5 à 6 fois par an, au minimum). Faire des cures de 2 à 3 mois d’huile d’onagre de première pression. L’hiver prendre de la vitamine D3 avec de l’algue lithothamne et si vous êtes stressée, des oméga-3 de poissons ou de lin.
• Traiter une constipation éventuelle avec : Psyllium, rhubarbe racine… Bourdaine et séné pour les cas désespérés.
• Si vous n’avez pas une bonne circulation veineuse au niveau des jambes, faire des cures de complexes aux plantes pour la circulation. Vigne rouge, marron d’inde, petit houx (fragon), ginkgo biloba, flavonoïdes OPC, rutine et vitamine C. A prendre le matin et le soir. Un bon retour veineux est indispensable pour mieux éliminer.
• En cas de stress, anxiété forte, sommeil perturbé, prendre des plantes apaisantes comme la passiflore, l’aubépine, la griffonia. La valériane pour l’énervement
En traitements externes
Faire des exercices physiques et respiratoires. La détente est essentielle. Un massage « palper-rouler » en remontant vers le haut du corps est toujours conseillé.
Pratiquer des massages sur les zones en surcharges, notamment en cas de cellulite. Pour cela rien de mieux que les huiles essentielles sur une huile végétale ou un gel. Huiles essentielles de lemon-grass, de cyprès, de cèdre de l’Atlas, de ravintsara. On peut ajouter de l’huile essentielle de sauge sclarée pour des problèmes hormonaux. Diluer ces huiles essentielles dans une huile végétale, calendula ou autre.
Surpoids localisé chez l’homme
• Pour un homme, le surpoids est souvent, du moins au départ, localisé sur le tour de taille ou spécifiquement sur le ventre. Les deux facteurs responsables sont l ‘alimentation et le stress. On ajoute avec l’âge l’andropause, la baisse d’hormone mâle, testostérone. Le fait de faire du sport est profitable mais il ne faut ne pas en faire n’est pas un facteur essentiel, du moins le sport intensif car un minimum d’activité physique fait partie de l’hygiène de vie.
Protocole conseillé Si vous avez une surcharge de graisse autour de la taille et que vous êtes un homme :
• Régulation et équilibrage alimentaire, avec un minimum de restriction.On choisit des aliments riches en protéines non grasses, viandes blanches et rouges avec légumes, poissons, œuf mollet, légumineuses et légumes. Mais priorité aux aliments sains, frais, non raffinés, huiles non hydrogénées. Supprimer surtout les aliments industriels, les plats préparés… On diminue les produits laitiers gras, les viandes grasses, charcuteries, on augmente les légumes, fruits, viandes blanches ou rouges, poissons. Trouver SON alimentation, sans faire «un régime» !
• Drainage du foie et du système digestif avec des plantes: Artichaut (feuilles de tiges), pissenlit, radis noir, chardon marie…… Au moins 3 semaines, matin à jeun, midi avant le repas, soir juste après.
• Produits pouvant aider à mieux activer le métabolisme de base : Ginseng blanc ou rouge (Racine de Corée), Éleuthérocoque (Ginseng sibérien), Guarana naturel d’Amazonie, Tribulus Indien (stimule la production naturelle de testostérone). Extraits de cannelle.
• Si l’on mange peu d’aliments riches en protéines, viande et poissons on peut prendre des compléments de protéines de petit lait ou végétales, en poudre. Ou de la spiruline (5 à 10g par jour). Ou encore des complexes d’acides aminés.
• La lécithine de soja est conseillée en granules ou capsules. Elle aide le foie à mieux émulsifier les graisses.
• Enfin on veille à apaiser les tensions nerveuses intérieures, du travail ou de la vie privé. Pour cela, sport, exercices de respiration, marche seront au menu.
Faire des cures d’oméga-3 de poissons des mers froides, d’oméga-6 d’huile d’onagre, de magnésium bien assimilé, magnésium martin. Et utiliser les plantes apaisantes comme la valériane pour l’énervement, la passiflore, la griffonia pour le stress, l’angoisse, le sommeil.
Car le stress est l’autre grand facteur de la «prise de ventre». Un travail «stressant», partagé entre un bureau, un siège de voiture, le restaurant risque d’arrondir rapidement le devant du corps. Le ventre est un réceptacle des émotions, négatives et positives. Les tensions nerveuses intériorisées crispent tous les organes de la digestion, estomac, foie, intestins… Le résultat est différent suivant les tempéraments. Certains auront un métabolisme sur-activé et élimineront le bol digestif très rapidement. Sujets aux acidités à l’estomac, aux maux de tête, aux diarrhées ou alternance diarrhées, constipation, ils sont de nature très nerveux, toujours en mouvement, sportifs… D’autres tempéraments sont plus tranquilles, presque placides, et ont peu de problèmes digestifs, mangent plutôt beaucoup et prennent facilement un peu de surpoids généralisé, en commençant par le ventre. Nous sommes différents et notre environnement influence aussi notre physiologie.
La rétention d’eau
Déterminer de quelle rétention d’eau il s’agit !
Les « fausses » rétentions d’eau ! La plupart de temps, les femmes recherchent des produits pour « dégonfler ». Mais elles ne souffrent pas d’une pathologie rénale qui bloque l’élimination rénale ou par transpiration. Elles retiennent un peu l’eau au moment des règles, ou ont une mauvaise circulation veineuse, pour les raisons indiquées précédemment. La circulation lymphatique est ralentie, en cause un foie paresseux, qui engendre aussi de la constipation.
Une thyroïde faible peut également être en cause, on cherche alors une possible carence en fer, en protéines, vitamines B.
Certaines femmes pensent même avoir un problème de rétention d’eau alors qu’elles ont simplement de la graisse sur le ventre ou simplement des ballonnements. Elles prennent alors des plantes diurétiques qui n’ont guère d’effets que de fatiguer l’organisme. Surtout si ces compléments s’accompagnent de restrictions alimentaires inadaptées.
Les vraies rétentions d’eau se signalent souvent par des chevilles gonflées, et pas seulement en fin de journée, des doigts gonflés le matin, le dessous de yeux, les paupières enflées. Dans ces cas, il ne faut pas se précipiter sur des diurétiques naturelles ou médicaments, mais consulter. Il peut s’agir de l’amorce d’une pathologie. Si rien de particulier n’est décelé, on commencera par drainer le foie avec des plantes amères, qui activeront doucement la diurèse. On utilise les extraits de plantes diurétiques pour activer encore l’élimination par les reins. Une recharge minérale est souvent associée, soit globale avec un complément contenant tous les minéraux et oligo-éléments, soit spécifique de tel ou tel minéral, magnésium, fer, zinc…
L’état des ongles et cheveux donneront de précieuses indications sur les besoins en minéraux et oligo-éléments.
1. Ongles ayant des taches blanches : Magnésium Calcium plus vitamine D3
2. Ongles striés, perte de cheveux, teint pâle, fatigue chronique : Fer et Cuivre
3. Ongles lisses, mous, cheveux dévitalisés : Zinc et Oligo-éléments
La poudre de pousses d’orge germé, la spiruline, la chlorella, les algues marines dont le lithothamne apportent sous une forme naturelle tous les sels minéraux indispensables.
Protocole conseillé Si vous faites un peu de rétention d’eau avec un peu de surcharge graisseuse, souvent sous forme de cellulite
• On ne prend surtout pas de diurétiques puissants. Ceux-ci occasionneront des effets de retour négatifs, de la fatigue, une accentuation de carences latentes.
• Les plantes les plus douces et efficaces pour stimuler la diurèse en douceur sont le bouleau, feuilles et sève, le pissenlit racine et feuilles, l’aubier de tilleul, l’ortie et la prêle, la queue de crise, la piloselle … On les prend de préférence en dehors des repas, au verre ou diluées dans il d’eau.
• On peut associer des plantes qui activent le foie. Feuilles de tiges d’artichaut, camomille fleurs, chardon-marie., Trois fois par jour au début des repas.
• On soutient si besoin la circulation veineuse avec les plantes traditionnelles, vigne rouge, marron d’inde, petit houx (fragon), ginkgo biloba, flavonoïdes appelés OPC, rutine.
• Reminéraliser avec des cures de minéraux sous forme de citrates alcalins, de poudre d’orge germé, d’eau de mer purifiée
• Le stress intérieur qui est toujours l’ennemi numéro un se traite par les exercices physiques, respiratoires et les plantes apaisantes habituelles. La passiflore, l’aubépine, la griffonia. Pour le stress intérieur, l’angoisse, le sommeil… La valériane contre l’énervement.
• Régulation et équilibrage alimentaire sans restriction, sauf excès flagrant. Priorité aux aliments sains, frais, non raffinés, huiles non hydrogénées. On supprimera surtout les aliments industriels, les plats préparés… On diminue les produits laitiers gras, les viandes grasses, charcuteries, on augmente les légumes, fruits, viandes blanches ou rouges, poissons. On préfère le riz, le quinoa, le millet, le sarrasin comme féculents.
-N’hésitez pas à prendre des acides gras essentiels oméga-6 et 3 ( qui ne vous feront pas grossir), pour équilibrer entre autres les fonctions hormonales, Huiles d’onagre et de poissons des mers froides ou de lin. Les acides gras sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme et la suppression, dans certains régimes, de tous les corps gras aboutit à des carences. D’autant que l’on va conserver les graisses les plus nocives, les acides gras trans, dans les graisses hydrogénées (pain de mie, biscottes, barres protéinées, produits minceurs divers…). Il y a de plus mauvaises graisses dans ces aliments industriels que dans le gras d’un bon jambon !